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-«Tu ne m'as même pas présentée à ton ami puis sa blonde.»
-Je ne sais pas s'ils sortent officiellement ensemble…
-«Donnes!» Elle reprend le join qu'habilement j'ai rouler pour elle et, moi, je ne suis pas certain de savoir exactement où se trouve Gabriel et Alice. Je ne suis même pas certain de pouvoir marcher encore.
-«On en est à combien?»
-«J'en sais trop rien vois-tu?» Elle rigole. C'est vrai que se poser la question nous ferais voir l'empleur de notre idiotie. Elle en a pas envie, je crois, de toute manière…Je me lève, soulagé de pouvoir encore le faire.
-«Où tu vas?»
-«Voir où se trouve Gabriel et Alice.» Elle me dit alors qu'elle va attendre un peu, parce que ca tourne et que j'ai trois visages. Je trouve l'excuse fort valable, n'en demandant pas plus je traverses la pièce, enfargeant corps, meubles et bouteilles vides.
J'en suis à mon quatrième sur plomb de cuisine lorsque je me résignes à demander où pourrais être Gabriel. Tout ce que je déchiffres de la souillure que me parle, c'est qu'il pourrait être à la cave. Une cave? Euh sérieusement je n'avais pas remarquer.
-«Andy!» m'appelle-t-il lorsque j'eu terminer d'en trouver la descente d'escalier.
-«Heu…Je…te…cherchais.» Dis-je bêtement en m'approchant.
-«Cricket, 'lut!» Je me retournes lentement, envers la voix évidemment saoûle.
-«Euh…ouais!» C'était Alexandre, celui qui m'a flanquer la tape de ma vie, il n'y a pas si longtemps d'ailleurs…De toute manière.
-«Attends mon tit homme j'te refiles quelque chose?» Gabriel était rempli de bonnes intentions.
-«Non, je n'en veux pas!»
-Pourquoi, t'as le droit de rêver un peu?
-Bah je voles déjà…Gabriel!
-Hein? Bas t'as pas l'air héhé...C'est vrai que ca ne paraît jamais toi.
-Où est Alice?
-Aux toilettes, mais il me semble qu'il y a longtemps…Gabriel regarda instinctivement en haut de l'escalier.
-«Bien allons-y jeter un œil…»
En demandant quelques renseignements à des gens quelconques, la plupart des cons renifleurs de cul populaires, nous avons finalement retrouvé Alice aux toilettes entrain de tenir la touffe de poil ondulée brune qui coiffait le crâne, remplit de jel-ho de Kathy. Elle vomissait nous donnant l'écho voluptueux de vocalise déglutiaires. Concerto pour poissonnerie. N'aller surtout pas croire au sarcasme.
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vendredi 29 juin 2007
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